Les économies ultramarines sont-elles peu ouvertes, comme on l’entend traditionnellement en corollaire à la stratégie d‘import-substitution ? Quels sont les indicateurs disponibles à cet égard ? Comment peut-on caractériser au mieux leur trajectoire de croissance, du point de vue de l’articulation entre la demande interne et la demande externe ? Ensuite, quelles doivent être les modalités de cette ouverture accrue, compte tenu des contraintes subies par ces économies, qu’il s‘agisse de contraintes naturelles ou de celles « man made » qu’impose le statut du rattachement politique à la France ? La stratégie d‘ouverture peut-elle ou doit-elle constituer une alternative à la politique traditionnelle de l’import-substitution, ou au contraire venir en complément de cette dernière ? Quelles en sont les implications pour la politique économique et commerciale ? Enfin, quelles sont les perspectives objectives d‘accélération de la croissance rendues le cas échéant possibles par une plus grande ouverture ?
-
sur la même région
Publications institutionnellesDocuments stratégiquespublié en mars 2024Vidéopublié en mars 2024Observatoires des communespublié en janvier 2024Publications institutionnellespublié en janvier 2024Publications institutionnellesDocuments stratégiquespublié en janvier 2024Document d'évaluationpublié en Décembre 2023 -
sur le même thème
Document de recherchepublié en février 2024Publications institutionnellesBilans et rapports d'activitéInfographiespublié en Mai 2023Publications institutionnellesBilans et rapports d'activitépublié en Mai 2023Document d'évaluationpublié en janvier 2023Vidéopublié en janvier 2023Document de recherchepublié en Décembre 2022 -
de la même collection
Document de recherchepublié en avril 2015Document de recherchepublié en Décembre 2014Document de recherchepublié en Décembre 2014Document de recherchepublié en Novembre 2014Document de recherchepublié en Octobre 2014Document de recherchepublié en Septembre 2014